Ce matin, c'est le départ pour pas mal de monde.
Le jardin de la GH est très propice aux rencontres et échanges avec les autres voyageurs. Je prends mon petit déjeuner (ça y est, j'ai renoncé au café-tartines pour adopter la soupe au riz), avec Tim, une jeune femme fine et gracieuse de 24 ans, qui en paraît 16, qui est venue de Bangkok avec ses parents et son frère, et qui nous pose des tas de questions sur nos pays. C !'est pas si souvent qu'on a l'occasion d'échanger avec des touristes thailandais
Le jardin de la GH est très propice aux rencontres et échanges avec les autres voyageurs. Je prends mon petit déjeuner (ça y est, j'ai renoncé au café-tartines pour adopter la soupe au riz), avec Tim, une jeune femme fine et gracieuse de 24 ans, qui en paraît 16, qui est venue de Bangkok avec ses parents et son frère, et qui nous pose des tas de questions sur nos pays. C !'est pas si souvent qu'on a l'occasion d'échanger avec des touristes thailandais
On s'échange tous nos coordonnées (il me faudrait des cartes de visite), et chacun part de son côté.
La gare des bus est tout près, dans le centre ville, et tout se goupille parfaitement : le prochain bus pour Chiang Khong part dans 15 minutes, on y arrive 2h30 plus tard (la porte du bus est restée ouverte, et ben il y faisait froid !), là-bas, je partage un tuk-tuk avec un voyageur anglais et direction bureau de l'immigration, 3 km plus loin près du débarcadère, formalités expresses, un bateau de rien du tout nous embarque avec 3 autres personnes , nous traversons le Mékong en 2mn,
La gare des bus est tout près, dans le centre ville, et tout se goupille parfaitement : le prochain bus pour Chiang Khong part dans 15 minutes, on y arrive 2h30 plus tard (la porte du bus est restée ouverte, et ben il y faisait froid !), là-bas, je partage un tuk-tuk avec un voyageur anglais et direction bureau de l'immigration, 3 km plus loin près du débarcadère, formalités expresses, un bateau de rien du tout nous embarque avec 3 autres personnes , nous traversons le Mékong en 2mn,
voilà, on est au Laos en un rien de temps, 31 $ et quelques minutes plus tard, nos visas sont réalisés, tamponnés, et j'ai le droit de rester au Laos jusqu'au 16 janvier. J'ai même pas eu le temps de dépenser mes derniers bahts pour un Pad Thai, mais ici à Huay Xai, les choses ne semblent pas bien différentes : petite ville frontière organisée autour d'une rue parallèle au Mékong, des GH, des boutiques, où il n'y a pas grand chose, des gargotes, des bureaux de tourisme qui vendent les billets pour le slow boat ou le speed boat.
Je change quelques dollars : 50 $ font 399 000 kips ! Ca veut dire plein de billets dans le porte monnaie, qui d'ailleurs a pas trop apprécié son passage dans la machine à laver (carte visa dedans, les billets, la totale...)
J'ai du mal à m'adapter au changement de devises, surtout qu'ici, les échanges se font en bahts, en kips et aussi on accepte les dollars. Je renonce d'ailleurs à faire les conversions.
Après avoir un peu erré sous le soleil de plomb, je constate que le Laos est toujours un pays communiste
que la présence française a encore laissé quelques traces :
que la présence française a encore laissé quelques traces :
je réserve pour demain le slow boat qui doit m'emmener en 2 jours à Luang Prabang (900 bahts), après réflexion, je pense que je me suis un peu précipitée, et qu'il aurait été plus malin d'acheter le billet directement au débarcadère, mais le petit gars de l'agence était aimable, et une fois l'affaire conclue, il hèle un copain en moto pour qu'il me dépose à ma Guest House.
C'est la friendship GH ( 60000 kips la nuit, j'ai quand même l'impression que c'est pas trop cher : environ 6 €), je dine de nouilles frites, et j'en profite pour tester al fameuse beerlao, pas mal non plus, un peu d'internet dans une salle mais je renonce rapidement à mettre à jour le blog, vu la lenteur de la connexion.
Soirée tranquillou dans ma chambre très très kitsch.
Là aussi, je suis surprise par le curieux système de raccordement de l'évacuation du lavabo :
l'écoulement se fait directement au sol (ça permet de se laver les pieds en même temps qu'on se brosse les dents) et suit la pente de l'écoulement de la douche toute proche. En tous cas, c'est ingénieux et la pente est plutôt bien faite, rien ne s'écoule hors de la salle de bain !
Là aussi, je suis surprise par le curieux système de raccordement de l'évacuation du lavabo :
l'écoulement se fait directement au sol (ça permet de se laver les pieds en même temps qu'on se brosse les dents) et suit la pente de l'écoulement de la douche toute proche. En tous cas, c'est ingénieux et la pente est plutôt bien faite, rien ne s'écoule hors de la salle de bain !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire